Woody Allen
Whatever Works
A middle-aged, misanthropic divorcé from New York City surprisingly enters a fulfilling, Pygmalion-type relationship with a much younger, unsophisticated Southern girl.
- Réalisateur: Woody Allen
- Distribution principale: Conleth Hill, Evan Rachel Wood, Michael McKean, Larry David
- Cinématographie: Harris Savides
- Scénario: Woody Allen
Année: 2010
Cinéma Première: 1 juillet 2009
Critiques étrangères
9 critiques étrangères de Whatever Works (2010)
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8 / 10
Traduit de suédoise: "Whatever Works" n'est peut-être qu'une bagatelle qui n'atteint pas directement les moments les plus classiques d'Allen. Mais c'est un plaisir qui surpasse les comédies d'aujourd'hui avec une aisance décontractée.
- Oskar MollerSuédoise: moviezine.se »
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8 / 10
Traduit de suédoise: Ceux qui en ont envie peuvent facilement descendre le dernier film de Woody Allen. Woody ne s'est même pas donné la peine d'écrire un nouveau scénario, il s'est contenté de dépoussiérer une histoire vieille de 30 ans. Il nous raconte pour la cinquante-et-unième fois l'histoire d'un homme juif intellectuel plus âgé (Larry David) à New York dont l'intelligence fait qu'une jeune blonde canon mais idiote (Evan Rachel Wood) ne peut lui résister.
- Jan-Olov AnderssonSuédoise: aftonbladet.se »
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8 / 10
Traduit de suédoise: Ça ne marche pas toujours, mais "Whatever Works" fait mouche et c'est probablement ce que Woody Allen a fait de mieux depuis 2000.
- Martin SteijerSuédoise: cine.se »
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8 / 10
Traduit de suédoise: Cela ne semble peut-être pas particulièrement radical de célébrer un retour aux sources. Mais je veux simplement dire que Woody Allen utilise les outils qu'il maîtrise parfaitement.
- Bodil JuggasSuédoise: Arbetarbladet »
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6 / 10
Traduit de suédoise: Pas le meilleur film de Woody Allen mais on y trouve des épisodes savoureux, des dialogues percutants et quelques relations insolites. L'intellect n'est pas toujours ce qui guide nos choix. Le hasard, en revanche, oui. Comme dans le film, où les gens se rencontrent par pur accident.
- Ann-Christin SjölanderSuédoise: arbetet.se »
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6 / 10
Traduit de suédoise: Quoi qu'il en soit, c'est un plaisir de planer avec. Une fois redescendu sur terre, ces nuages romantiques n'ont peut-être pas laissé d'empreintes durables, mais on retourne dans la réalité plus concrète avec le sourire aux lèvres. Et avec la conviction que Larry David est au moins aussi doué que l'original pour incarner Allen.
- Bernt EklundSuédoise: expressen.se »
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5 / 10
Traduit de suédoise: Larry David tire le meilleur parti des aphorismes et maximes grinçants d'Allen, mais c'est bien trop autoconscient et suffisant, et après la première fois qu'il fait son sermon face caméra, cela devient tout simplement lassant.
- Julia SkottSuédoise: ng.se »
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4 / 10
Traduit de suédoise: Allen commet une erreur fatale : il brise le quatrième mur. Dès le début, Larry David se tourne vers nous dans le public et nous parle. Il dit à ses potes qu'il y a des gens là-dehors qui les regardent. Personne d'autre ne peut voir le public. Mais David continue de temps en temps à nous parler directement – et c'est parmi ce qu'il y a de pire. Cela brise la fiction. Soudain, ce qui se passe à l'écran n'est plus une sorte de réalité.
- Pidde AnderssonSuédoise: toppraffel.se »
Box Office
Whatever Works a généré un total de 36 020 534 dollars dans les cinémas du monde entier (le box-office mondial).
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Traduit de suédoise: Une séance de cinéma exquise et délicieusement captivante que nous offre Woody Allen dans son 41e long-métrage. Comme à son habitude, le réalisateur a utilisé sa recette favorite bien-aimée, mais cette fois-ci a très heureusement relevé le plat en mettant Larry David dans le rôle principal.
- Jan Lumholdt
Suédoise: svd.se »